Séminaire :

Séminaire Génétique du photographique. Réemploi, assemblage, recyclage (2) / 2023-2024

23/05/2024, ENS, 29, rue d'Ulm. Salle U207 2ème étage.(10h-18H)

Cet atelier s’appuiera sur la thématique du récit, de l’écriture suscité par le travail de la mémoire en prenant comme support de réflexion le texte d’Aldo G. Gargani : Regard et destin

Il s’agira pour les participants de choisir 3 ou 4 photos qui seront préalablement imprimées, des photos qui occupent une place centrale en terme d’objet mémoriel (recherche iconographique dans des albums ou photos familiales, souvenirs d’un lieu particulier, d’un moment privilégié….). On ne cherchera pas la qualité des photographies.

 

Ce choix constitue un vrai préalable, il engagera une réflexion a posteriori sur le traitement de l’accrochage et de l’editing.

Dans l’extrait du texte de Gargani qui sera envoyé aux étudiants avant le séminaire, il leur sera demandé de sélectionner 12 mots et 2 lignes afin de créer une interaction entre les images qu’ils construiront et les mots qui leur serviront de support.

Pour l’élaboration des images qui viendront prendre place dans l’édition :

Les photos seront préalablement photocopiées à diverses échelles (cela peut se faire à l’ITEM 45 rue d’Ulm escalier C, 3 étage, en envoyant une demande par mail à aurele.crasson@ens.fr) afin d’être recomposées dans la perspective de l’accrochage puis de l’édition dans un cahier [fourni à cette occasion].

Cette composition devra susciter un récit, les élèves se placeront à la fois comme créateur d’une œuvre et comme « regardeur » critique de celle-ci dans un second temps.
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Organisation de la journée

10h – 11h Présentation de Jean-Michel Fauquet par lui-même et présentation des attendus de cet atelier

11h – 12h 30 travail de composition des images

12h30 – 13h30 déjeuner sur place et projection du film « Le châle espagnol » sur l’atelier de Jean-Michel Fauquet et la genèse d’une oeuvre

13h30- 15h Accrochage

15h – 17 h 30 Fabrication de l’édition (images et mots)

17h 30 – 18h Regard critique, le créateur est le regardeur