02/05/2012

COLLOQUE 
INTERNATIONAL

Le
 rébus,
 qui
 note
 un
 énoncé
 à
 l’aide
 d’images,
 constitue
 un
 objet
 privilégié pour
 l’étude
 des
 relations
 entre
 écriture
 et
 figure.
 Plusieurs
 articles
 ou
 monographies
 importantes
 lui
 ont
 déjà été consacreés,
 mais
 il
 n’a
 jamais
 été abordé
 de
 manière
 frontale
 et
 comparative
 à
 plus
 grande
 échelle.
 Nous
 nous
 proposons
 d’étudier
 son
 mode
 de
 fonctionnement
 et
 ses
 usages
 dans
 différentes
 cultures,
en 
prenant
 pour
 point 
d’ancrage 
les 
systèmes 
d’écriture
 qu’elles 
utilisent.

Converseront
 ensemble
 des
 spécialistes
 d’objets
 aussi
 divers
 que
 le
 hiéroglyphe
 égyptien,
 l’emblème
 renaissant,
 les
 sûtra
 chinois,
 les
 enseignes
 picardes,
 la
 peinture
 japonaise,
 mais
 aussi
 les
 jeux
 poétiques,
 le
 cinéma
 et
 jusqu’aux
 exemples
 les
 plus
 récents
 de
 transcription
 icono‐phonétique
 auxquels
 on
 peut
 donner
 le
 nom
 de
 rébus.
 Une
 telle
 variété invitera
 à
 multiplier
 les
 points
 de
 rencontre
 inédits
 dans
 une
 réflexion
 sur
 ce
 qu’on
 pourrait
 appeler,
 selon
 une
 analogie
 très
 ancienne
 avec
 le
 rêve,
 le
 «
 travail
 du
 rébus
 »,
 sans
 jamais
 perdre
 de
 vue
 les
 distinctions
 matérielles,
 sémiotiques,
 fonctionnelles,
 et
 culturelles
 entre
 les
 formes
 d’écriture en 
images
 retenues.


Télécharger le Programme

Pour en savoir plus, merci de vous adresser à : 
 


 Claire‐Akiko
 Brisset
 (claire.brisset@univ‐paris‐diderot.fr),
 Florence
 Dumora
 (fdumora@free.fr),
 et
 Marianne
 Simon‐Oikawa 
(msoikawa@l.u‐tokyo.ac.jp)

Converseront
 ensemble
 des
 spécialistes
 d’objets
 aussi
 divers
 que
 le
 hiéroglyphe
 égyptien,
 l’emblème
 renaissant,
 les
 sûtra
 chinois,
 les
 enseignes
 picardes,
 la
 peinture
 japonaise,
 mais
 aussi
 les
 jeux
 poétiques,
 le
 cinéma
 et
 jusqu’aux
 exemples
 les
 plus
 récents
 de
 transcription
 icono‐phonétique
 auxquels
 on
 peut
 donner
 le
 nom
 de
 rébus.
 Une
 telle
 variété invitera
 à
 multiplier
 les
 points
 de
 rencontre
 inédits
 dans
 une
 réflexion
 sur
 ce
 qu’on
 pourrait
 appeler,
 selon
 une
 analogie
 très
 ancienne
 avec
 le
 rêve,
 le
 «
 travail
 du
 rébus
 »,
 sans
 jamais
 perdre
 de
 vue
 les
 distinctions
 matérielles,
 sémiotiques,
 fonctionnelles,
 et
 culturelles
 entre
 les
 formes
 d’écriture en 
images
 retenues.


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Pour en savoir plus, merci de vous adresser à : 
 


 Claire‐Akiko
 Brisset
 (claire.brisset@univ‐paris‐diderot.fr),
 Florence
 Dumora
 (fdumora@free.fr),
 et
 Marianne
 Simon‐Oikawa 
(msoikawa@l.u‐tokyo.ac.jp)